BD Les souvenirs d'Azvaltya T1 - Le fardeau
Auderset Alain, éditions Atelier Auderset, réf. 79305, EAN 9782940487264CHF 24.00 Acheter
BD Les souvenirs d'Azvaltya vol 1
Le 10e album de bande dessinée d’Alain Auderset marque le départ d’une saga épique intitulée “Les Souvenirs d’Azvaltya” dont “Le fardeau” constitue le premier tome.
DESCRIPTIF
Un univers à la frontière entre le rêve et la réalité, un monde où tout est vivant, une “jungle” qui fascine autant qu’elle effraie! C’est le territoire de tous les possibles, un monde parallèle au nôtre qui regorge de découvertes et de dangers... Bienvenue à Azvaltya!
Marcel, un voyageur qui traverse cette contrée à la recherche de sa destinée, passe par des hauts et des bas, croise tantôt l’amour, tantôt la haine... et rencontre de belles personnes qui ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être.
Confronté à des impasses, lancé dans une course effrénée malgré le lourd fardeau qu’il a accumulé au cours de son périple, Marcel ne sait plus trop où il en est ni où il va... mais il y va!
Premier tome de la série “Les souvenirs d’Azvaltya”, cet album est le préambule à un cycle d’aventures qui promettent d’être épiques... Il nous invite également à relire notre propre parcours de vie à la lumière d’un jour différent.
Les Souvenirs d’Azvaltya
C’est l’histoire d’un gars, un petit gars suisse. Reclu entre lacs et montagnes comme un bon ermite ; il a tout de même beaucoup de choses à nous dire ou plutôt, à nous partager.
Homme-orchestre, il manie l’humour, la musique et le dessin. C’est justement sur ce talent que je veux m’attarder.
Format: 30.5 x 22 cm
68 pages
PUBLIC: adultes et jeunes dès 13 ans
Alain Auderset publie des BD depuis maintenant 20 ans. Avec un style qui n’appartient qu’à lui, il dessine en toute simplicité ce que Jésus lui a mis sur le cœur. Oui, vous avez bien lu, Jésus peut également s’exprimer avec la mine d’un crayon de bois. L’auteur s’est fait connaitre avec ses BD Idées reçues, qui comme son nom l’indique dynamite de l’intérieur nos plus coriaces concepts. Alain Auderset continua l’aventure en intégrant dans ses œuvres suivantes un personnage nommé Marcel. Nom lambda (désolé pour les Marcel) qui peut-être aisément remplacé par le mien et surtout par le tien. Ce monsieur tout le monde a bizarrement les mêmes inquiétudes, préoccupations et les mêmes questionnements que la plupart des mortels. D’où est ce que je viens ? Ou je vais ? Qu’est-ce que je mange à midi ? Et j’en passe….
Il sort aujourd’hui sa dixième BD Les souvenirs d’Azvaltya, premier tome d’une série que nous espérons fructueuse. Une fois encore l’ami Auderset ne s’embête pas avec les clichés puisque dès la première page nous pénétrons son univers très singulier. Un monde où les éléments ont leur propre vie, où les épreuves semblent nous poursuivre, un monde où les rencontres, même fortuites, peuvent avoir un impact inattendu. Nous vivons dans un monde individualiste, la fuite en avant semble être l’unique solution. Marcel va en faire l’expérience. Incapable d’abandonner son passé, ses fardeaux, il sera contraint de faire une pause. Ce break aura des conséquences qu’il ne mesure pas encore. Celles-ci peuvent nous être imposées pour nous permettre de réfléchir, pour nous permettre de prendre du recul. D’ailleurs à quand remonte ta dernière pause ? Je ne parle pas d’un de ces moments dans lequel tu te vides la tête, affalé devant la TV (même si ça fait du bien parfois) mais d’une pause où tu t’arrêtes pour réfléchir et rechercher la présence de Dieu. Car même si tu ne le vois pas ou ne croit pas en lui, Lui te voit et croit en toi. Il n’attend qu’une chose de toi, c’est que tu rentres en contact avec lui. Comment ? Rien de compliqué, tu n’as qu’à lui parler tout naturellement. Ça s’appelle aussi une prière, ça n’a rien de mystique, c’est juste une conversation cœur à cœur.
Marcel n’en a pas encore conscience, mais qu’importe, ce n’est que le tome 1, seul l’auteur en connait la suite. Un peu comme dans nos vies. Les grandes lignes ne demandent qu’à être tracées avec le concepteur, notre créateur.
Les souvenirs d’Azvaltya c’est une aventure qui se lit et qui se vit. Un univers dans lequel le Arthur des Minimoys irait diner chez la Alice dans son pays aux merveilles. Une aventure fantastique qui semble tout droit sortie d’un de ces rêves où l’on se demande quelle est la part de réel et de fantasme.
Un livre qui n’attend qu’à ’être découvert par des lecteurs curieux.
Comme quoi la Suisse ne produit pas que du chocolat !
Cédric Lemaire.
Le 10e album de bande dessinée d’Alain Auderset marque le départ d’une saga épique intitulée “Les Souvenirs d’Azvaltya” dont “Le fardeau” constitue le premier tome.
DESCRIPTIF
Un univers à la frontière entre le rêve et la réalité, un monde où tout est vivant, une “jungle” qui fascine autant qu’elle effraie! C’est le territoire de tous les possibles, un monde parallèle au nôtre qui regorge de découvertes et de dangers... Bienvenue à Azvaltya!
Marcel, un voyageur qui traverse cette contrée à la recherche de sa destinée, passe par des hauts et des bas, croise tantôt l’amour, tantôt la haine... et rencontre de belles personnes qui ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être.
Confronté à des impasses, lancé dans une course effrénée malgré le lourd fardeau qu’il a accumulé au cours de son périple, Marcel ne sait plus trop où il en est ni où il va... mais il y va!
Premier tome de la série “Les souvenirs d’Azvaltya”, cet album est le préambule à un cycle d’aventures qui promettent d’être épiques... Il nous invite également à relire notre propre parcours de vie à la lumière d’un jour différent.
Les Souvenirs d’Azvaltya
C’est l’histoire d’un gars, un petit gars suisse. Reclu entre lacs et montagnes comme un bon ermite ; il a tout de même beaucoup de choses à nous dire ou plutôt, à nous partager.
Homme-orchestre, il manie l’humour, la musique et le dessin. C’est justement sur ce talent que je veux m’attarder.
Format: 30.5 x 22 cm
68 pages
PUBLIC: adultes et jeunes dès 13 ans
Alain Auderset publie des BD depuis maintenant 20 ans. Avec un style qui n’appartient qu’à lui, il dessine en toute simplicité ce que Jésus lui a mis sur le cœur. Oui, vous avez bien lu, Jésus peut également s’exprimer avec la mine d’un crayon de bois. L’auteur s’est fait connaitre avec ses BD Idées reçues, qui comme son nom l’indique dynamite de l’intérieur nos plus coriaces concepts. Alain Auderset continua l’aventure en intégrant dans ses œuvres suivantes un personnage nommé Marcel. Nom lambda (désolé pour les Marcel) qui peut-être aisément remplacé par le mien et surtout par le tien. Ce monsieur tout le monde a bizarrement les mêmes inquiétudes, préoccupations et les mêmes questionnements que la plupart des mortels. D’où est ce que je viens ? Ou je vais ? Qu’est-ce que je mange à midi ? Et j’en passe….
Il sort aujourd’hui sa dixième BD Les souvenirs d’Azvaltya, premier tome d’une série que nous espérons fructueuse. Une fois encore l’ami Auderset ne s’embête pas avec les clichés puisque dès la première page nous pénétrons son univers très singulier. Un monde où les éléments ont leur propre vie, où les épreuves semblent nous poursuivre, un monde où les rencontres, même fortuites, peuvent avoir un impact inattendu. Nous vivons dans un monde individualiste, la fuite en avant semble être l’unique solution. Marcel va en faire l’expérience. Incapable d’abandonner son passé, ses fardeaux, il sera contraint de faire une pause. Ce break aura des conséquences qu’il ne mesure pas encore. Celles-ci peuvent nous être imposées pour nous permettre de réfléchir, pour nous permettre de prendre du recul. D’ailleurs à quand remonte ta dernière pause ? Je ne parle pas d’un de ces moments dans lequel tu te vides la tête, affalé devant la TV (même si ça fait du bien parfois) mais d’une pause où tu t’arrêtes pour réfléchir et rechercher la présence de Dieu. Car même si tu ne le vois pas ou ne croit pas en lui, Lui te voit et croit en toi. Il n’attend qu’une chose de toi, c’est que tu rentres en contact avec lui. Comment ? Rien de compliqué, tu n’as qu’à lui parler tout naturellement. Ça s’appelle aussi une prière, ça n’a rien de mystique, c’est juste une conversation cœur à cœur.
Marcel n’en a pas encore conscience, mais qu’importe, ce n’est que le tome 1, seul l’auteur en connait la suite. Un peu comme dans nos vies. Les grandes lignes ne demandent qu’à être tracées avec le concepteur, notre créateur.
Les souvenirs d’Azvaltya c’est une aventure qui se lit et qui se vit. Un univers dans lequel le Arthur des Minimoys irait diner chez la Alice dans son pays aux merveilles. Une aventure fantastique qui semble tout droit sortie d’un de ces rêves où l’on se demande quelle est la part de réel et de fantasme.
Un livre qui n’attend qu’à ’être découvert par des lecteurs curieux.
Comme quoi la Suisse ne produit pas que du chocolat !
Cédric Lemaire.
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